The darkest hour

Depuis le temps que je voulais le voir, en évitant la 3D et les horaires à la manque… c’est fait ! Ce n’est pas le film du siècle, très loin de là, mais je me suis bien amusé. Ça ne vole pas très haut, c’est extrêmement classique, sans surprise et du déjà vu, mais ce n’est pas le pire non plus. Le côté amusant, c’est ces aliens électriques, dans le décor de Moscou (ça change de New York) et l’accent russe…qui parlent tous anglais. Les effets spéciaux sont minimalistes au possible, mais ne cherchent pas à épater plus que ça, et ça fonctionne. C’est bourré de bimbos et de bad boys tout droit sortis d’un défilé de mode. Sans en attendre grand-chose, je n’ai été déçu de rien. Un point positif, c’est de relever à quel point nos villes sont illuminées et que notre consommation d’énergie est énorme. A la différence de Skyline, la fin est optimiste. Les interprètes, Emile Hirsch (Into the wild), et les jolies Olivia Thirlby (Sex friends) et Rachael Taylor sont assez crédibles dans leur ensemble.