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28 mars 2014 5 28 /03 /mars /2014 09:43

De retrouver ce film qui plus est en bluray a été comme une redécouverte avec un égal plaisir jouissif que la première fois. Steven Spielberg (Lincoln) avait encore fait sensation tant d’un point de vu narratif avec l'adaptation du roman de Michael Crichton dans une magnifique réalisation, qu’avec des effets spéciaux qui tiennent encore la route avec force réalisme et émotion.

Un couple de paléontologues est invité sur une ile lointaine à donner leur avis sur un parc d’attraction nouvelle génération créé par un milliardaire sympathique et excentrique. Des savants ont réussis pour lui à ressusciter des animaux préhistoriques disparus depuis soixante cinq millions d’années par la génétique. L’heure de la visite du parc avec les petits enfants et un savant à sonnée pour un petit tour de rêve… qui va vite tourner au cauchemar. Comme moi, vous vous souvenez dans ses moindres détails toutes les scènes et répliques de cette aventure fantastique, et pourtant, j’ai éprouvé les mêmes frissons de plaisir et d’angoisse, sursauté aux apparitions soudaines, ri aux éclats à l’humour et été sensible aux moments de tendresse.

Rares sont les films du genre qui conservent à ce point les sentiments et la fraicheur d’émotion. Je me suis retrouvé une âme d’enfant, avec plaisir et délectation, tant la réalisation est géniale sur un script simple, clair, aux valeurs qui ne s’imposent pas de morale ou sous entendu lourdingues, même si c’est truffé de message. Cela reste du divertissement pur, pour les petits et les grands, dans la joie et la bonne humeur, sans niaiseries ou violences gores. C’est ce que j’aime et me fait rêver.

Bien sûr, face au succès, des suites à la saga ont données une franchise trilogique avec Le monde perdu et Jurassic Park III, qu’il me tarde de revoir. En 2015 devrait même sortir un quatrième opus Jurassic World.

Le casting est super sympa et à la hauteur de l’événement, avec Sam Neill (Evasion) et Laura Dern (The master) dans un excellent duo épique, face à Jeff Goldblum (Un week-end à Paris) absolument impayable. Richard Attenborough (Chaplin) est magistral. Les Bob Peck et Martin Ferrero sont drôles et marquants. Les jeunes, Joseph Mazzello (G.I. Joe : conspiration) et Ariana Richards sont parfaits d’émotion et de conviction. Samuel L. Jackson (Robocop) tonitruant comme à son habitude, et Miguel Sandoval (Real steel) irrésistible.

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