On pouvait craindre en toute logique à voir un long clip publicitaire pour la marque du jeux… et c’est le cas. Même si c’est intelligemment intégré dans une histoire réalisé par Phil Lord et Chris Miller (21 Jump Street), tout n’est ici qu’un catalogue de vente d’un jeu internationalement bien implanté et au succès considérable.
Dans le monde un monde imaginaire et futuriste, le danger guète pour toute une sorte de personnages hétéroclites, menacé par un despote quand Emment se retrouve être le possible sauveur alors qu’il n’a pas la moindre qualité de super héro. Et pourtant, aidé de quelques courageux compagnons, il va devoirs surmonter ses peurs et incompétences.
L’histoire est très classique basic, amusante et pleine d’actions et de rebondissement, sur le thème du fossé intergénérationnel entre Will Ferrell et Jadon Sand pour un même jeu qui passe de père en fils. L’idée finale est amusante, mais ça n’en fait pas non plus un chef d’œuvre. Alors oui les enfants trouvent leur compte, sans y voir de plus que les matraquages publicitaire à la télé. Sauf que, balades en magasins, attendez-vous à ce qu’ils veulent la nouvelle panoplie issue du film. Le marketing est un facteur commercial qui ne perd pas de temps ni d’argent. Aussi le merchandising en profite pour la mise en vente de 17 jeux de constructions et 16 figurines, sans compter des jeux vidéo. Et bien entendu, une suite est dore et déjà prévue.
Vu en version françaises avec les doublages d’Arnaud Ducret et Philippe Valmont, Tal et Benoît Allemane, Maeva Méline et Maurice Decoster…