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30 novembre 2014 7 30 /11 /novembre /2014 20:41

Et la suite des aventures de Katniss Everdeen se prolonge avec une partie bis par Francis Lawrence (De l'eau pour les éléphants), histoire de rallonger la sauce sans justification scénaristique, mais une formidable manne financière jusqu’à épuisement du filon désormais à la mode des comptables, sans pour autant que ce soit pour une fois trop dérangeant, mais quand même...

Après l’épisode précédent, Hunger games - l'embrasement, ou Katniss Everdeen avait littéralement fait exploser le dôme de l’arène monstrueuse des combats mortels, et provoqué la révolte générale, elle s’est réfugiée dans le District 13. Désormais, sous la protection de la Présidente Alma Coin, Katniss devient le symbole de la rébellion par média interposé, afin de soulever l’ensemble des districts pour un combat final. Mais elle a à cœur de libérer Peeta retenu prisonnier. Les forces semblent disproportionnées, et la lutte acharnée.

S’il ne s’y passe pas grand-chose en action, et si j’ai trouvé un peu long dans le développement, je ne me suis pour au temps pas ennuyé. Par vidéos interposés, les éléments finaux se mettent définitivement en place pour la scène que j’espère d’anthologie. Ainsi, à coup de propagandes et quelques coups d’éclats, le grand incendie approche enfin. On peut bien se demander ce que Katniss peut trouver à ce palot de Peeta bien benêt. Pour la mise en scène et les effets, il n’y a aucun reproche à faire. C’est maitrisé et calibré, pour des travelings sans surprise, ni bonne ni mauvaise. Je me surprends à m’inpatienter d’en voir la fin.

Jennifer Lawrence (Serena) assure avec conviction, charme et émotion. Liam Hemsworth (Paranoïa) n’est pas en reste, tout comme Julianne Moore (Non-stop) et Philip Seymour Hoffman (Un homme très recherché), Donald Sutherland (The best offer) et Jeffrey Wright (Only lovers left alive). La jeune Willow Shields, en tant que petite sœur Everdeen, prend enfin un peu plus d’envergure. Natalie Dormer (Cartel) et Wes Chatham (La couleur des sentiments), Josh Hutcherson (L’aube rouge) et Evan Ross, mais également Elden Henson (Rise), Sam Claflin (Pirates des Caraïbes : la fontaine de jouvence) et Paula Malcomson. Salutairement un peu moins en exergue, Elizabeth Banks (Blackout total) et Woody Harrelson (Palmetto), Mahershala Ali (Droit de passage) et Stanley Tucci (Transformers : l'âge de l'extinction), ou Jena Malone (Les ruines) qui me gavaient des masses précédemment.

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