Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
23 novembre 2014 7 23 /11 /novembre /2014 09:18

Jaume Balagueró (Malveillance) met donc un terme à la franchise zombiesque qui nous aura bien tenu en haleine depuis le premier opus, original et effrayant pour nous entrainer dans des suites, préquel, séquel et j’en passe avec plus ou moins de bonheur. Il était temps que ça se termine dans une apothéose cauchemardesque des plus classiques.

[REC] 4 : PhotoAprès l’horreur meurtrière qui s’est déroulée un soir dans un vieil immeuble de Barcelone. L’armée décide une bonne fois pour toute de détruire définitivement les lieux. Sauf la mort frappe encore, mais que la journaliste Angela Vidal est encore en vie et récupérée. Elle se retrouve en un lieu secret, épiée en permanence par caméra, et subit des expériences douloureuses. Rapidement, des événements violents se répètent, et la sécurité sur le navire en pleine mer dans lequel elle se trouve confinée, devient un piège dangereux où la menace est plus inimaginable que jamais. La fin du monde est proche.

[REC] 4 : PhotoSi l’on retrouve le lieu clos, mais plus de found footage sauf par écrans de contrôle interposés, il n’y a plus grand-chose de commun d’avec l’esprit d’origine. Cette histoire est résolument classique zombiesque sans originalité, sauf l’image finale sur l’apocalypse en devenir. Après, la réalisation est efficace, la mise en scène soignée et les effets font choc. Pourtant, rien de bien transcendant, peu d’innovation sur un récit classique et convenu. Tout au plus me suis-je amusé dans les courses poursuites dans les coursives d’un navire à la dérive. On ne peut s’empêcher à des films références comme Alien et nombre d’histoire romerièsques. Ça reste malgré tout rigolo horrifique et efficace.

[REC] 4 : PhotoNous retrouvons donc avec plaisir la jolie Manuela Velasco ([REC] 2) qui est toujours aussi percutante, face aux Paco Manzanedo et Héctor Colomé (Azul), María Alfonsa Rosso et Ismael Fritschi, comme d’Emilio Buale, Javier Laorden et Crispulo Cabezas, ou encore avec Mariano Venancio (Camino) et Javier Botet (Les sorcières de Zugarramurdi) qui subissent les vicissitudes violentes du virus.

2 étoiles

Partager cet article
Repost0

commentaires