Oups ! Il y a comme ça des fois où l’appât du gain est tellement trop fort de la part des producteurs qu’ils en sont prêt à tout et surtout n’importe quoi pour vite faire fructifier un succès en sortant des ersatz de pseudos clones qui ne ressemblent à rien. Après L’effet papillon, où les fins alternatives ne laissaient aucun doute sur la fin de fin de cette malédiction unique, il a fallu trouver une astuce pour la répliquer. Et bien non, après tout, maladie génétique n’est pas exceptionnelle et donc… et bien un jeune homme va à son tour, dans une histoire du plus ridicule et bas de gamme se trouver confronter à changer son passé pour celle qu’il aimé et patati et patata. La mise en scène est bâclée, l’histoire sans saveur ni surprise ni intelligemment écrite. C’est juste un bon gros nanard commerciale qui ne vaut rien. Le choix des interprètes n’est pas toujours très judicieux, et sans doute dommageable pour leurs carrières. Ainsi, Eric Lively (The L word) est du plus pâle effet qui soit, sans envergure ni personnalité. La jolie Erica Durance, la Loïs Lane de Smallville, est gentillette, quant Dustin Milligan et la toute aussi jolie Gina Holden sont quasi inexistants. Je n’ose imaginer ce que peut donner le troisième opus, si si, ils l’ont fait ! et j’ai hâte de le découvrir J histoire de cuver la lie jusqu’à la dernière goute et vous faire part de mon impression. A suivre…