Le hasard fait que j’ai commencé le livre de Douglas Kennedy dont est tiré le film. Là où j’en suis, ce n’est pas du tout la même histoire. Je pourrais comparer quand je l’aurai terminé. Sur le film,
je ne suis pas sûr d’avoir compris, ou du moins, d’avoir compris ce que j’ai compris et si c’était bien ce qu’il fallait comprendre. Pas très clair, hein ? J’ai trouvé que c’était très long,
très classique, et assez chiant dans le fond. Pour le coup, nous ne sommes pas dans le Paris carte postale de Woody Allen. Le jeu de caméra est assez incertain, tout comme celui des acteurs.
Ethan Hawke, a pris un sacré coup de vieux, n’est pas mal, mais un peu absent. Kristin Scott
Thomas, que j’aime beaucoup, est un peu trop effacée. Joanna Kulig, inconnue dans mon panthéon, jouerait pas mal. Samir Guesmi en méchant… Delphine Chuillot (Nannerl,
la sœur de Mozart) juste dans une courte apparition. La petite Julie
Papillon est bien crédible. Le tout donne une teinte, sans doute voulu, de maladresse pénible. En gros, je n’ai pas vraiment aimé.