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23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 10:37

Une histoire d'amour très décousue sur 50 ans de juifs communistes espérant trouver le paradis en URSS ! Puis après de longues vacances au goulag retour inverse. C'est filmé comme il y a 60 ans, très lent, très académique... ça sentait l'encaustique de vieillard sénile. C’est très confus et perturbant avec tous ces allers retours passé présent, sans repère de lieux, d’époques et de protagonistes. Ça tourne très vite chiant, aussi j’ai vite perdu le fil des événements et cessé de chercher à comprendre qui est qui fait quoi où pourquoi, pour me laisser bêtement balloter aux grès d’un réalisateur qui visiblement s’est lui-même perdu en cours de route. J’ai encore plus de mal que d’habitude à croire à l’amour entre une belle jeune femme de 46 ans avec un vieillard de 71 ans et plus encore un de 87 ans ! J’avoue avoir beaucoup de mal avec Willem Dafoe (Antichrist) qui me rebute souvent par son jeu particulier. Bruno Ganz (Sans identité) restera pour moi une icône valorisé par Enki Bilal, mais il m’a paru ici un peu perdu. Je le confesse une fois de plus, je n’aime pas Michel Piccoli (Habemus papam) mais je reconnais qu’il est assez bien cette fois-ci. Quand à la belle Irène Jacob que j’aime beaucoup et regrette de ne pas la voir plus souvent, elle est parfaite.

1 étoile

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commentaires

M
Comment tu y vas ! Encaustique et vieillard sénile ! Bon en même temps, t'as pas tout à fait tort, Angelopoulos n'étant plus que l'ombre de lui-même avec ce film où il radote pas mal. Je préfère<br /> largement ses films d'avant où il savait vraiment créer des oeuvres magnifiques.
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