Vu en avant première du club 300 (merci Platinoch), en bonne compagnie, Fred, Neil, Fab and co…. Si l’équipe du film était assez bien représentée, ça n’a pas redoré pour autant l’impression sur le film…. bien au contraire ! Il est clair que seuls les acteurs se
sont amusés sur le tournage. Car pour ma part, je me suis passablement ennuyé sur ce road movie d’une équipe de d’animateurs de radio assez ringards. Je ne pense pas que le film se voulait une
comédie comique, même si un bon mot ou un gag fait sourire. En fait je n’ai sais vraiment sur quel pied danser, tant ce n’était pas non plus une dramatique, ni un reportage, encore moins un
hommage au métier. Poncifs et clichés sont présents, avec les lourdeurs et longueurs qui vont avec. Ce n’est pas prenant, ni passionnant, ni émouvant…. C’est chiant ! Le jeu des acteurs est
convenu et convaincant. On ne peut pas tellement leur reprocher ça. C’est juste pas bien. Manu Payet est toujours aussi efficace, dans son
rôle fétiche de comique troupier. Clovis Cornillac nous fait le sempiternel râleur que c’est sans surprise, même s’il domine bien son sujet.
Ça doit être naturel chez lui. Douglas Attal, le fils du producteur, est très mauvais avec des airs de Jason Biggs. Le reste de la troupe d’illustres inconnus, Pascal Demolon, Benjamin Lavernhe, Côme Levin, Zita Hanrot…
passe à peu près. La très courte appartion d’Alice Belaïdi me fait craindre le pire de la "beurette de banlieue" n’alignant que des
chapelets de mots orduriés. Film extrêmement dispensable et à éviter.