Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
20 novembre 2012 2 20 /11 /novembre /2012 14:48

Que cette heure et quart fut longue ! Avec ce found footage poussé à l’extrême, entre tremblements, flou au plus près des visages et souvent dans l’obscurité, j’en ai eu très vite la gerbe. Mal filmé, mal découpé, mal joué. Pourtant, sur un sujet de plus en plus contemporain, il m’eut semblé important de mieux soigner ce film. Le brassage interracial n’est pas nouveau. Pour ma part, c’est surtout cet islam qui force à la conversion à tout bout de champ qui me gave. Ces religions qui supplantent les sentiments amoureux, prouve qu’il n’y a pas d’amour dans tout ça. Et j’ai du mal à comprendre tous ceux qui se convertissent par « amour » perdant leur âme et leur liberté, perdant ce qu’ils étaient censés être pour avoir séduit leur partenaire islamique. L’histoire est pénible à suivre de part la qualité merdique des images, mais aussi par les longueurs qui trainent pour finalement se terminer assez vaseusement. Il a au moins un mérite, c’est de nous montrer de l’intérieur ce que je ne voudrais vivre pour rien au monde. Dommage que le fond comme la forme soient mal traités, car les divers thèmes méritaient un meilleur traitement que cet exercice de première année d’école de cinéma amateur. Ce n’est pas que les interprètes soient mauvais, mais que la diction sonne faux. Ainsi Slimane Dazi est agaçant dans son jeu, quant Sabrina Hamida est plus convaincante que Stephane Soo Mongo.

1 étoile

Partager cet article
Repost0

commentaires