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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 15:22

Dans ma pile de cadeaux pour mon récent anniversaire, encore plein de belles surprises, dont cette première réalisation en 1968 d’Isao Takahata et d’hayao miyazaki qui ont signé récemment leurs adieux au métier, l’un avec Le conte de la princesse Kaguya et l’autre avec Le vent se lève, avec la participation également de Yasuo Ōtsuka, Yoichi Kotabe et Yasuji Mori, qui est devenu culte au fil du temps plus par la renommée acquise depuis avec leur lancement dans la grande aventure indépendante, que pour les qualités graphiques qui en font loin d’un chef d’œuvre.

Horus, prince du soleil : photo

On y retrouve mêlés nombre de références culturelles entre l’Egypte antique, les contes médiévaux et du roi Arthur, ou encore de la mythologie Grecque, entre autres. La réalisation n’est pas des lus magnifiques. Sur un graphisme basique pas spécialement bien travaillé, ressemblant souvent à des croquis des story-boards, l’animation laisse parfois la place à des images fixes qui se superposent. De ce point de vue, c’est assez laid. La principale explication en est la difficulté financière qu’ils ont rencontré lors de leur lancement dans l’aventure et des trois années de réalisation. Il ne faut pas aussi oublier que quarante six ans nous séparent, soit une éternité quand on voit ce que la technologie et les formations d’artistes ont à ce point évoluer. Reste une histoire sobre et classique, étonnante et amusante avec son lot d’émotions, mais surtout le point d’orgue des futurs chefs d’œuvres.

Avec les voix originales souvent d’acteurs de renom comme Yukari Asai et Mikijirô Hira, Etsuko Ichihara et Hiroshi Kamiyama, Masao Mishima et Eijirô Tôno, ou encore Hisashi Yokomori, Tadashi Yokouchi et Hisako Ôkata.

2 étoiles

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