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25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 11:03

Cinquième opus de la sixologie de George A. Romero, qui après La nuit des morts-vivants, Zombie, Le jour des morts vivants et Le territoire des morts m’a encore bien régalé avec ses zombies. Petit bémol cependant, si j’ai vraiment adoré cette histoire, je l’ai trouvé quelque peu dans du plus conventionnelle et convenu dans sa réalisation. Petit retour aussi aux origines de la catastrophe. Comme dans chacun de ses films, Romero croque les travers de la société, avec cette fois-ci les médias en ligne de mire. Il faut dire que leurs excès du sensationnel pour se faire connaître et pour vendre de l’antenne et de la célébrité, les reporters sont prêt à tout et n’importe quoi au risque de la vie des autres et de la leur. Mais ils apportent aussi l’information en direct ou son contraire au service des états. Cette fois-ci, de jeunes étudiants en média et cinéma se trouvent embarqués dans cette terrible spirale de fin du monde avec cette pandémie zombiesque qui emporte tout et tous comme une trainée de poudre mortelle. Le pessimisme est de rigueur, et nos protagonistes ne tardent pas à payer le prix fort pour tenter de survivre à la catastrophe et au témoignage qu’ils veulent laisser aux survivants. Pour une fois aussi, les personnages sont attachants et on espère un miracle… J’ai encore bien aimé cet univers, mais j’ai moins ressenti la pate du maître du genre avec ces images trop bien léchées. Il y a aussi plus de protagonistes, dont pléthores de jolies filles, telles que Michelle Morgan, Amy Lalonde et Tatiana Maslany (Je te promets) qui sont désespérément attendrissantes. De même que le sort des mecs n’est guère enviable pour Joshua Close (The master) ou Shawn Roberts (Resident evil) qui paient cher.

2 étoiles

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