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6 juin 2019 4 06 /06 /juin /2019 09:55

Un grand merci à Koba Films pour m’avoir permis de poursiore les aventures dans cette série britannique réalisée en 2018 de 10 épisodes de 42 minutes réalisée en 2018 par Juan Carlos Medina, Alice Troughton et Sarah Walker, d’après la trilogie romanesque de Deborah Harkness.

Jeune étudiante à l’Université d’Oxford, Diana Bishop, descendante des sorcières de Salem, obtient par mégarde un livre magique qui lui révèle un message et la marque d’une brûlure, qui déclenche l’alerte des trois sociétés non humaines. Les sorciers, les vampires et les démons. Trois entités qui se haïssent depuis des millionnaires, mais tenues par un pacte de paix. Sauf que le livre de vie tant recherché sur leurs origines aiguise les convoitises et appétits de tous.

Diana est abordée par Matthew Clairmont, un vampire de mille cinq cents ans dont elle tombe amoureuse, en dépit de l’interdiction de métissages entre monstres. Une lutte impitoyable entres vampires, démons et sorciers sur fond de rivalité de pouvoirs et d’amour, de haine et de destruction met Diana en danger qui trouve un temps refuge chez sa tante et sa compagne qui l’ont élevé depuis la mort de ses parents assassinés.

On ne peut immanquablement penser à Twilight, à Shadowhunters ou encore à Lost girl et Charmed avec des créatures monstrueuses dans le monde des humains qui en sont toujours les proies. Une série fantastique sans grande originalité qui débute cependant avec passion par l’étrangeté du pouvoir magique du livre, par la jeune sorcière ingénue et naïve qui se révèle et les monstres qui coexistent dans la haine. Mais rapidement, le récit s’étiole vers une trame classique à la Bella et Edward version Capulet vs Montaigu en ne développant aucune empathie tant aucun n’est sympathique ni attachant, sauf peut-être étonnamment les pires, la sorcière Satu et la vampire Juliette.

Cependant, l’ambiance, la mise en scène et les interprètes soutiennent l’intérêt d’un genre largement usité d’une série B où les vampires ne craignent pas le soleil, pour nous tenir en haleine. En espérant des trahisons, surprises et rebondissements notamment entre Diana et Matthew, couple antinomique aussi peu crédible, pour pimenter la suite.

Avec la belle Teresa Palmer (Tu ne tueras point), Matthew Goode (Le cercle littéraire de Guernesey), Valarie Pettiford et Malin Buska, Owen Teale, Alex Kingston, Aiysha Hart, Edward Bluemel et Gregg Chillin, Trevor Eve, Louise Brealey et Elarica Johnson, Tanya Moodie, Lindsay Duncan, Sorcha Cusack et Trystan Gravelle, Aisling Loftus, Daniel Ezra et Sophia Myles, Greg McHugh, David Newman et Ken Bones, Leo Ashizawa et Julian Kostov, Nila Aalia et Chloé Dumas, Tomiwa Edun, Richard Katz, Sadie Shimmin, Imogen Comrie et Michael Culkin.

La série Le livre perdu des sortilèges saison 1, distribuée par Koba Films, est disponible dans les meilleurs bacs dès le 12 juin 2019 en DVD et Blu-ray. Il est proposé en version originale anglaise sous-titrée français et en audio français.

 

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30 mai 2019 4 30 /05 /mai /2019 17:40

Un grand merci à Koba Films pour m’avoir permis de poursiore les aventures dans cette série britannique réalisée en 2018 de 10 épisodes de 42 minutes réalisée en 2017 par Marek Losey, Andy Hay, Daniel O'Hara et Jamie Childs, d’après une histoire originale de Stan Lee et Neil Biswas, pour des enquêtes policière fantastiques et un bracelet magique au coeur des intrigues.

Six mois après avoir sauvé sa famille de Golding, le capitaine Harry Clayton a beaucoup changé dans son addiction au jeu, sobre depuis, et ne veut plus se servir du bracelet de la chance. Quand il fait la connaissance d’Isabella Augustine qui possède elle aussi un même bracelet, qu’Eve avait omis de lui révéler. Au fil des enquêtes, des meurtres de bouchers, de mafieux, d’homophobes, la menace de Golding se fait encore sentir.

Alors qu’Harry espère encore se remettre avec Anne, celle-ci s’est trouvé un nouvel amant que leur fille Daisy n’apprécie pas et qui découvre le pouvoir de la chance de son père. Harry sort avec Isabella qui se révèle bien dangereuse avec l’utilisation à outrance de son pouvoir. Son chef Winter commence à changer d’opinion sur Harry quand sa collègue Suri Chohan est toujours son meilleur soutien et se rapproche du frère Rich. Mais les dangers pèses sur tous et Harry doit faire des choix.

Une seconde saison passionnante, sombre et meurtrière, dans laquelle Clayton tente de ne plus se servir de son bracelet de la chance aux terribles contreparties et doit faire face au côté obscure de la force d’une Vador d’Isabella. Si chaque épisode est une enquête policière indépendante, le fil conducteur de la trame est bien sûr le développement de la vie d’Harry, de sa famille qui découvre son secret et ses dangers, de ses collègues confrontés à la méfiance de sa chance outrancière, et de ses ennemis toujours aussi nombreux.

Une saison vive et alerte, qui aborde des thématiques variées, qui joue aussi au chat et à la souris entre Harry et Anne. Une liaison commence à se nouer entre Rich et Suri, quand des portraits se bonifient comme Orwell, et d’autres disparaissent. Résolument plus violente que la saison précédente, avec ces meurtres à profusion, certains protagonistes deviennent plus sympathiques -Orwell, Winter- quand d’autres n’y arrivent toujours pas -Anne, Harry- et que se développe un peu plus ceux de Daisy et Suri. C’est avec impatience que j’attends de découvrir la saison 3.

Avec James Nesbitt (Le hobbit) et Sienna Guillory (Resident evil: retribution), Darren Boyd (Bridget Jones baby) et Amara Karan (St Trinian's), Stephen Hagan, Omid Djalili et Eve Best (Le discours d'un roi), Steven Mackintosh, la jeune Leilah de Meza (Alice de l'autre côté du miroir), Thekla Reuten (Red sparrow), et Sendhil Ramamurthy, Jonathan Aris, Jing Lusi, Jonathan Kerrigan et Ak Steppe, Olivia Quinn, Lee Nicholas Harris et Eliza Jones, Arthur Lee, Ty Hurley, Mike Ray et Matt Jones, Anthony Reddy et Matt Sproit, Charles Babalola, Ryan Coath, Grant Crookes, et Stan Lee.

La série Lucky man - Saison 2, distribuée par Koba Films, est disponible dans les meilleurs bacs dès le 19 juin 2019 en DVD et Blu-ray. Il est proposé en version originale anglaise sous-titrée français et en audio français.

3 étoiles

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13 mai 2019 1 13 /05 /mai /2019 09:43

Un grand merci à Koba Films pour m’avoir permis de découvrir cette série policière française de 2 épisodes de 90 minutes réalisée en 2018 par Josée Dayan, d'après le roman de Fred Vargas, dans le cadre de la Collection Fred Vargas, avec Un lieu incertain (2010), L'homme à l'envers (2009), L'homme aux cercles bleus (2009) et Sous les vents de Neptune (2008).

Aucun lien ne semble relier la mort naturelle de trois vieillards à quelques mois d’intervalle, si ce n’est la piqure d’une araignée, la Loxosceles rufescens, surnommée la recluse, le doute sdemeure. Les arachnophiles sont circonspects. Pourrait-il y voir une mutation mortelle par des pesticides, tant il faudrait au moins quarante piqures de la-dite tueuse. Le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg penche plutôt sur une série de meurtre. Lors de son enquête, il fait la connaissance du docteur Cauvert qui fait le lien des trois morts avec un orphelinat où ils étaient réputés comme des terreurs. Les informations d’Irène Royer-Ramier qui a une parfaite connaissance de l’araignée ouvre des pistes dans les recherches de la police. Malgré des tentatives de blocage du commandant Danglard, Adamsberg, assisté de ses collègues les lieutenants Froissy, Violette Retancourt, et du capitaine Voisenet, mène l’enquête avec des révélations sordides et sans doute une histoire de vengeance. Mais qui pourquoi et comment ?

Arachnophobes, à vos angoisses ! Tant il est vrai que ces petites bestioles ont de quoi effrayer par les dégâts causés par le venin. Une enquête mêlée d’humour et de sordide qui nous entraine dans le double sens de la recluse, avec son lot de surprises, bien que dès le début nous devinons aisément qui est responsable de ces meurtres, l’intrigue se suit avec intérêt.

Comme dans tout polar, à trop en faire en coïncidence avec le commissaire et la recluse, le récit trouve son rythme, son décors et ses protagonistes pour un polar à la française. Fort heureusement, la Recluse ne sévit pas plus à Nîmes qu’à Paris. Cette araignée ne vit que dans une région des États-Unis. Ouf ! N’en reste pas moins des frissons. Quand aux recluses du moyen-âge, elles furent peu nombreuses heureusement, volontaires et uniquement pour raisons religieuses qui étaient souvent refusée par l’église qui n’appréciait pas trop ces pratiques fanatiques. Un polar de facture honnête et sans prétention disposant d’une belle distribution sympathique.

Avec Jean-Hugues Anglade (Je suis un soldat), Sylvie Testud (Jour J), Pierre Arditi (Le hussard sur le toit), Jérôme Kircher, Elisabeth Depardieu, Jacques Spiesser, Corinne Masiero, Julia Duchaussoy, Bernard Verley, Jacques Bonnaffé, Christian Vadim, Thierry Hancisse, Issaka Sawadogo, Stéphan Wojtowicz, Juliette Carré, Elisabeth Bonpain, Frank Molinaro, Pierre Pirol, Fabrice Plaquevent et Michel Sidobre.

La série Quand sort la recluse, distribué par Koba Films, est disponible dans les meilleurs bacs dès le 22 mai 2019 en DVD.

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25 avril 2019 4 25 /04 /avril /2019 08:43

Un grand merci à Koba Films pour m’avoir permis de découvrir la suite de Harlots - Saison 1 cette série dramatique britannique de 8 épisodes de 45 minutes, réalisée en 2018 par Coky Giedroyc, et China Moo-Young, Jill Robertson, créée par Alison Newman et Moira Buffini, pour de beaux et cruels portraits de femmes dans un message féministe tout en subtilité.

Après les rivalités entre les deux mères maquerelles pour leur maison close, Margaret Wells et Lydia Quigley, la guerre est désormais déclarée. Un nouveau juge Josiah Hunt est nommé après l’assassinat de son prédécesseur Cunliffe, part à la chasse contre la luxure et les bordels. Nancy Birch en paie le prix fort avec le fouet en public. Tandis que Margaret complote contre Lydia par le biais de Charlotte passée chez la concurrente.

Sa sœur Lucie s’est vendue à lord Fallon. Tous mènent l’enquête sur le meurtre de Kitty Carter. Cependant, Emily Lacey monte sa propre maison close avec Charles Quigley. Les amours entre Amelia Scanwell et Violet Cross irait pour le mieux si la justice ne s’en mêlait pas. Lady Isabella Fitzwilliam, sœur de Fallon qui la bride, est sous le charme de Charlotte et l’aide contre Lydia qui la fait chanter. Lydia après un petit séjour en prison reprend sa vengeance avec un puissant protecteur et ses activités odieuses sans scrupule d’enlèvement de la jeune vierge Abigail Warren pour un viol aux enchères. Entre la guerre des mères maquerelles, vendetta et enquêtes, et la menace de mort des Spartiates, plus aucune limite n’arrête la haine. Et les clients continuent de consommer.

Rien ne va plus dans ce petit monde du sexe tarifé, avec les rivalités entre maisons closes, le club des Spartiates, entre enlèvements, viols et meurtres, manipulations et menaces. De nouveaux protagonistes arrivent avec un nouveau juge dépassé, un ancien soldat boxeur, et une noble soumise à son dégénéré de frère. Révélations, vengeances, amours et trahisons, les Wells paient le prix fort une place au soleil de la prostitution pour la haute clientèle, où tous les coups bas sont permis jusqu’à l’horreur.

C’est une fois de plus un portrait de la femme, riche ou pauvre, qui est dévoilé dans l’avidité des hommes pour le pouvoir de l’argent et du sexe dans les pires extrémités comme dans les petits faits. Superbement filmé dans des décors et reconstitution d’une époque et des mentalités. La bestialité des uns et des autres est stupéfiante et sans limite. C’est avec plaisir que j’ai retrouvé les principaux protagonistes dont il est difficile d’en trouver de plus sympathiques que d’autres. Amelia sans doute, tant tous les autres, emportées par des destins sordides se salissent les mains et l’âme, quand les hommes n’en sortent que des monstres d’une manière ou d’une autre dans ce monde de la luxure et des turpitudes.

Passionnant et angoissant, émouvant et marquant, cette série sait maintenir un récit maitrisé de qualité comme sa réalisation et mise en scène avec des interprètes époustouflants. Description de l’indicible sordide, sans jamais tomber dans le vulgaire ou le voyeurisme d’aucun excès sans pruderie. Un juste survole d’un univers épouvantable où la vie n’est qu’article à enlever, vendre, exploiter, déporter ou tuer.

Rien de bien nouveau dans le tréfond de l’horreur de la prostitution mais qui révèle un monde et des mentalités sordide. Est également abordé la déportation en esclavage vers les Amériques, qui commence enfin à ressurgir notamment dans la série Outlander, qui a touché les britanniques, comme politique d’éradication de la misère et du peuple irlandais. En attendant avec impatience la saison 3, prévue pour le 10 juillet 2019.

Nous retrouvons avec plaisirs les excellentes Samantha Morton et Lesley Manville, les très belles Eloise Smyth, Jessica Brown Findlay, Dorothy Atkinson, Pippa Bennett-Warner et Kate Fleetwood, Holli Dempsey, Douggie McMeekin et Danny Sapani, Hugh Skinner,

Roy Beck, Rosalind Eleazar et Bronwyn James, Jordon Stevens et Josef Altin, Ellie Heydon, Steven Robertson, Ziggy Heath, Ben Lambert, Gérard Monaco et Sean Hart, Amy Dawson, Eleanor Yates, Lottie Tolhurst, Stephen Beckett, Michael Simkins, Timothy Innes et les jeunes Jordan A. Nash, Reuben Kotey et Alannah Thomas, Julian Rhind-Tutt, la belle Liv Tyler, Francesca Mills, Sheila Atim, Jack Staddon, Roy Martin Thorn, Nicola Coughlan, Eric Kofi-Abrefa, Ty Hurley, Emily Forbes, Richard Durden, Antony Somers, et les jeunes Isis Hainsworth et Hannah Dodd.

La série Harlots - Saison 2, distribué par Koba Films, est disponible dans les meilleurs bacs dès le 5 juin 2019 en DVD et Blu-ray. Elle est proposé en version originale anglaise sous-titrée français et en audio français. Dans les suppléments,un entretien avec Liv Tyler, et le documentaire de la série.

3 étoiles

 

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9 avril 2019 2 09 /04 /avril /2019 08:10

Un grand merci à L’atelier d’images pour m’avoir permis de découvrir la suite de cette mini-série policière suédoise réalisée en 2010 à 2017 par Mattias Ohlsson, d’après les romans de Viveca Sten, pour des enquêtes policières sur les magnifiques archipêles suédoises.

Saison 5 - Au cœur de l'été - I stundens hetta – 2015

Nora Linde a du mal à s'entendre avec Vera, la fille de 14 ans de son nouveau compagnon, Jonas. Celle-ci se rend à une soirée organisée sur la plage pour la Saint-Jean, retrouvant ses copines Felicia et Ebba et les copains Tobbe et Victor. Au lendemain, Vera est introuvable, et le corps de Victor est retrouvé au bord de mer. Margit Grankvist envoie les inspecteurs Thomas Andreasson et Mia Holmgren sur l’enquête. Un dealer, un petit ami indélicat, un policier sont autant de pistes à prospecter, d’autant que tout le monde ment. Cependant que Thomas est papa d’une petite Eline et que sa femme Pernilla ne se plait pas l’île, que Mia s’amuse avec une collègue, Thomas et Nora continuent toujours leurs flirts avec les yeux brillants de sentiment.

Saison 6 - Dans l’ombre du pouvoir - I maktens skugga – 2018

Nouveaux venus sur l'île, Carsten et Celia Larsson ont invité leurs voisins à la pendaison de crémaillère de leur somptueuse villa. Mais la construction d'un sauna sur la mer suscite de la colère. Cependant que Carsten complètement ivre et drogué flirte avec une serveuses, un étranger russe arrive pour dettes d’argent. Il sera retrouvé dans le sauna incendié durant la nuit. Thomas et Mia explorent les pistes confuses. Pernilla est retournée en ville, quand Jonas emmène Vera en vacances sans Nora. L’étau se ressert autour du coupable comme les dettes insurmontables pour Carsten.

Saison 7 - Au nom de la vérité - I nöd och lust (2018)

Pour et été, Nora s'envoie son fils Simon dans un camp de voile avec un groupe de jeunes. Un stage d’une semaine durant laquelle le jeune Benjamin est le souffre douleur de deux camarades. Cependant, Nora accueil la jeune Ulrica, malheureuse suite à une rupture amoureuse avec un homme marié. Thomas et Pernilla sont de nouveau en phase de séparation. De l’eau dans le gaz aussi entre Nora et Jonas, surtout avec une photo prise par Vera. Quand Benjamin est porté disparu, Thomas et Mia mène l’enquête sur la trace d'un homme déjà condamné pour le viol et le meurtre d'un enfant, recherché pour s'être soustrait à la surveillance.

Suite de la vie personnelle mouvementée de Thomas et Nora qui ne cessent de flirter, et des enquêtes policières sur ces belles îles suédoises sujettes aux meurtres à tout va. La saga poursuit donc les saison 1 & 2 et des saison 3 & 4. Côté cœur on s’attend toujours à ce que Thomas et Nora se mettent ensemble, mais Jonas et Pernilla, Vera et Eline viennent mettre le grain de sable. Dans la prochaine saison à venir, l’amour triomphera t-il ? On peut regretter si peu d’attention sur Mia qui prend intérêt d’autant qu’elle est attachante. Côté enquêtes, elles sont tournées sur les jeunes, meurtres, enlèvements, tentative de viol, drogue et alcool, harcèlements. Plus sombre, plus classique mais plus réaliste aussi. Un sentiment d’attentisme à des événements qui devraient intervenir dans la prochaine saison.

Nous retrouvons avec plaisir les principaux protagonistes et des petits nouveaux, Jakob Cedergren et Alexandra Rapaport, Anki Lidén et Louise Edlind. Sandra Andreis, Ane Dahl Torp, Stefan Gödicke et la jeune Saga Samuelsson, Lion Mon H. Wallén, Lotta Tejle, les jeunes Kajsa Sandberg, Liv Lemoyne, Eliot Waldfogel, Pontus Eklöf et Joel lützow, Frederik Hallgren, Grim Loham, Nathalie Minnevik et Charlie Pertersson, Tina Råborg et Leona Axelsen Ringström, Marvin Dackén, Romeo Altera et Anton Forsidk, Felice Jankell et Wilma Lidén.

La série Meurtres à Sandhamn - L'intégrale des saisons 5, 6 & 7, distribué par L’atelier d’images, est disponible en DVD dans les meilleurs bacs dès le 7 mai 2019. Elle est proposé en version originale suédoise sous-titré français, et en version française.

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24 février 2019 7 24 /02 /février /2019 19:03

Un grand merci à Arte Éditions pour m’avoir permis de découvrir cette passionnante série télévisée réalisée en 2018 par Francesco Munzi, Lucio Pellegrini et Niccolò Ammaniti, d’après une histoire originale de Niccolò Ammaniti créateur de la série, pour une réflexion sur le miracle de la foi.

À Rome, lors de l’arrestation d’un mafieux dans cache souterraine, une statue de la Vierge Marie est retrouvée avec la particularité de pleurer du sang à raison de 9 litres à l’heure. Rapidement, les biologistes découvrent qu’il s’agit de sang humain pur de tout virus. Le général des carabiniers averti en secret le premier ministre Fabrizio Pietromarchi en plein marasme politique d’un brexit italien en court. Il fait appel à Marcello, un prêtre de ses amis pour avis. Celui-ci, petit escroc, est subjugué par la Madone. Cependant, la biologiste Sandra Roversi fait absorber à sa mère malade quelques gouttes du sang miraculeux en espérant une réaction salvatrice. Quand Sole Pietromarchi est en prise avec la nounou Olga, membre d’une secte qui influence ses enfants.

Une série fantastico-métaphysique surprenante, sur fond de thriller dans laquelle chaque épisode correspond à une journée et nous entraine en tous sens avec une confusion maitrisée dans une successions de phénomènes étranges. Suite à la découverte de cette statuette de plastique qui déverse des milliers de litres de sang humain, chacun fait face selon  ses convictions et espoir à e mystère.

Envoutant récit qui nous prend par la curiosité d’en savoir plus, de comprendre où cela veut en venir sans apporter de réponse que de remuer nos méninges et ressentis. Quid de cette petite fille violentée et assassinée lors du mariage par le fils abandonné ? Quid du geste de la mère qui attrape la mouche avant de mourir ?

Mystère du message que veut faire passer les créateurs de cette trame sur la foi et les attentes des croyants ou athées. La fin laisse j’imagine une seconde saison afin d’apporter des explications, auquel cas on en reste sur notre fin.La mise en scène et les images sont excellente, tout comme les interprétations.

Avec Guido Caprino (Les Médicis, maîtres de Florence), la belle Elena Lietti, Alba Rohrwacher (L'Ami - François d'Assise et ses frères) et Javier Cámara, Irena Goloubeva, Lorenza Indovina, Paola Lavini, Edoardo Natoli et Tommaso Ragno, Sergio Valastro, Sergio Albell, Pia Lanciotti et Alessio Praticò, Edoardo Natoli, Leonardo Maddalena et Denis Fasolo, Stefano Scandaletti, Antonio Giancarlo Zavatteri et Tullio Sorrentino, Silvia Gallerano et Mimma Lovoi, Kerem Can, Elena Cotta, Daria Deflorian et Daphne Scoccia, Raffaella Panichi, Paola Lavini, Jean-Marc Barr et Monica Bellucci, Roberto de Francesco, Eleonora Danco, Francesco Siciliano et Stefano Scherini, Aram Kian, Lucia Alessi, Alice Benvenuti et Paolo Bessegato, Antonella Britti, Alexia Murray et Guido Di Lorenzo.

La série Il miracolo, distribuée par Arte Éditions et sa page Facebook, est disponible depuis le 30 janvier 2019 en Blu-ray, DVD et VOD,. Il est proposé en version originale sous-titrée français, et audio français, et audiodescription pour aveugles et malvoyants. Dans les suppléments, Niccolò Ammaniti, de la page à l’écran, Une galerie de personnages, L’anatomie d’un miracle, Les coulisses.

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18 février 2019 1 18 /02 /février /2019 11:03

Un grand merci à Koba Films pour m’avoir permis de découvrir cette belle et passionnante première saison d’une série dramatique britannique de 8 épisodes de 45 minutes, réalisée en 2017 par Coky Giedroyc, et China Moo-Young, Jill Robertson, créée par Alison Newman et Moira Buffini, inspirée par The covent garden ladies de Hallie Rubenhold, sur la rivalité de deux maquerlles de bordels, et les coniditions des femmes prostituées dans le Londres du 18ème siècle.

Dans Londres de 1763, deux mères maquerelles, Margaret Wells et Lydia Quigley se livrent une guerre impitoyable. Lydia jouit d’une réputation auprès de haute aristocratique anglaise avec sa maison close dans les beaux quartiers, qu'elle tient avec son fils Charles Quigley, gros et stupide qui tombe amoureux d’Emily Lacey, une prostituée de Margaret passée chez Lydia. Ancienne prostituée de Lydia, Margaret tient un bordel de bas étage avec l’ambition de monter sa maison dans les hautes sphères. Elle n’a pas hésité à prostituer et vendre sa fille ainée Charlotte à sir George Howard.

Pour accomplir son ambition, elle met en vente la virginité de sa fille cadette, Lucy, contrainte et forcée à son tour à la prostitution. L’arrivée de son riche ancien amant Nathaniel Lennox marié à  Harriet une esclave et leurs deux enfants Joseph et Maggie, lui apporte l’aide financière. Cependant, Lydia tente de contrecarrer sa rivale grâce à ses bons clients, dont le juge Cunliffe, et de Florence Scanwell pieuse et dévote et sa fille Amelia. Une organisation secrète est en demande de jeunes vierges pour des sévices mortels.

Mais Charlotte est en rébellion contre son maître et contre sa mère, et amoureuse de Daniel Marney. Lucy est réticente à la prostitution est donne bien du fil à retordre quand lord Fallon la veut. Emily Lacey, tente tout ce qu’elle peut pour s’élever dans la profession avec risques et périls. Lorsqu'Amélia, qui n’est pas indifférente à Violet Cross, une prostituée de Nancy Birch, amie de Margaret, spécialisée dans la flagellation, est en grand danger.

Une excellente série d’harlots -catins, prostituées, putains- à l’instar de la série française Maison close se situant un siècle plus tard à Paris, donne une magnifique galerie de portraits de femmes dans le plus vieux métier du monde. S’il nous est particulièrement difficile de comprendre aujourd'hui, bien que la prostitution existe toujours, les créatrices remettent bien la situation dans le contexte social d’alors. Une société morale où seuls les hommes devaient subvenir financièrement aux femmes, qu’il ne devaient pas y avoir de relations sexuelles hors mariage, dont nombre d’entre eux n’avaient pas les moyens de se marier, et tous avaient des besoins de sexualité.

Entre les femmes sans le sous, les hommes qui n'en avaient pas assez, le commerce de la chair a poussé une femme sur cinq à la prostitution. De la rue miséreuse jusqu’au plus hauts cieux des courtisanes, que les riches aristocrates payaient des fortunes. Une prostitution honnie mais que tous en croque. Qu’est le mieux la prostitution que de coucher pour de l’argent que pour un poste dans son entreprise, pour une dote de mariage ou pour un rôle, la vente de son corps trouve un champ très large qui touche beaucoup plus qu’un humain sur cinq. J’ai été happé et saisie par cette première saison qui situe les unes et les autres avant de s’envoler dans des ramifications obscures, de rivalité et de suspens, de sexe brut et de romance, dans une ambiance glauque et sordide.

Comment comprendre qu’une mère vende ses deux jeunes gamines, en fera t-elle de son fils ? Comment comprendre cette bestialité des hommes pour la chair, sur l’image de la femme méprisée et humiliée ? Qu’advient-il à toutes ces milliers de femmes dans leur vie ? Une plongée dans le 18ème siècle, entre décors et mentalités, dans une rivalité insane tant l’offre et la demande sont grandes de victimes et tortionnaires, prises dans l’engrenage de l’absurdité, que ce récit palpitant qui évite le racolage pour un vrai récit descriptif d'un monde qui nous tient en haleine dans l’impatence de découvrir la seconde saison, et renouvelé pour une troisième saison.

Les créatrice de la série ont, entre milliers de recherches, trouvées matière de travail avec la liste de Harris des dames de Covent Garden -Harris's list of covent garden ladies- parue de 1757 à 1795, était un répertoire annuel des prostituées de Londres. Brochure de poche qui décrivait l'apparence physique et les spécialités sexuelles d'environ 120 à 190 prostituées ayant travaillé à Covent Garden et dans ses environs. Un bréviaire critique qui pouvait faire monter les côtes ou détruire des carrières.

Avec dans cette superbe distribution, les excellentes Samantha Morton (Les animaux fantastiques) et Lesley Manville (Maléfique), les très belles Eloise Smyth (Love bite), Jessica Brown Findlay (Le merveilleux jardin secret de Bella Brown), Dorothy Atkinson (Chatroom), Pippa Bennett-Warner et Kate Fleetwood (Philomena), Holli Dempsey (Aaaaaaaah!), Douggie McMeekin, Edward Hogg, Richard McCabe et Danny Sapani, Hugh Skinner, Roy Beck, Rosalind Eleazar, Rory Fleck Byrne, Tim McInnerny, Fenella Woolgar et Con O'Neil, Bronwyn James, Jordon Stevens, Alexa Davies, Poppy Corby-Tuech et Josef Altin, Ellie Heydon, Steven Robertson, Ziggy Heath, Ben Lambert, Gérard Monaco et Sean Hart, Amy Dawson, Eleanor Yates, Lottie Tolhurst, Stephen Beckett, Michael Simkins, Timothy Inneset les jeunes Jordan A. NashReuben Kotey et Alannah Thomas.

La série Harlots, distribué par Koba Films, disponible dans les meilleurs bacs dès le 20 mars 2019 en DVD et Blu-ray. Elle est proposé en version originale anglaise sous-titrée français et en audio français. Dans les suppléments, un passionnant et instructif entretien avec les créatrices de la série Alison Newman et Moira Buffini. Secrets de tournage, documentaire jouissif sur le tournage, les costunes, les décors, les maquillages et les personnages de la série.

3 étoiles

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16 février 2019 6 16 /02 /février /2019 10:26

Un grand merci à Koba Films pour m’avoir permis de découvrir cette très belle mini-série intégrale en 3 épisodes britannique de 42 minutes réalisée en 2017 par Guillem Morales, d'après le roman The Miniaturist de Jessie Burton, qui s’est inspiré par la maison de poupée de Petronella Oortman exposée au Rijksmuseum, sans être une biographie.

Amsterdam, 1686. Petronella « Nella » Oortman, 18 ans, arrive de son village de province pour rejoindre son époux, Johannes Brandt. Riche marchand fantasque de 40 ans, il vit dans une opulente bâtisse au bord du canal dirigé par sa sœur austère Marin, pour le moins désagréable avec la jeune épouse. Si la servante Cornelia commence à être plus aimable, le valet esclave Otto est un fidèle fanatique de son maître.

En attente de sa nuit de noce toujours pas consommée, Nella reçoit en cadeau une maison de poupées représentant l’intérieur de sa nouvelle demeure. Elle entreprend de l’animer grâce aux talents d’un miniaturiste qu’elle ne voit jamais. Chaque miniature révèle des secrets de la maison et des occupants. Une belle jeune femme mystérieuse apparait souvent aux yeux de Nella, le miniaturiste. Amie ou ennemie ?

En voulant lever le voile sur les mystères de la maison, Nella mettent à jour de dangereux secrets. Une relation extra conjugale du marin, un amour déçu de la belle-sœur, des policiers des mœurs, des amis investisseurs dangereux. La timide Nella prend les rennes de la maison avec assurance dans une enquête inquiétante et pleine de rebondissements.

Une passionnante série policière sociétale dans le Hollande du dix septième siècle avec une reconstitution superbe et des images à la Rembrandt, Vemeer, ou de Hooch enchanteur. L’homophobie y est abordé avec beaucoup de tact et se sensibilité, comme du poids des religions et de leurs haines, rivalités et intolérances. Une quête passionnante sur la personnalité de chacun qui se dévoilent toujours avec inquiétude autour de la jeune Nella dont ses rêves glamours disparaissent pour mieux se révéler, dans une ambiance délétère passionnante.

J’ai adoré cette sorte d’atmosphère des jeux arcades Cryo que j’aimais. Ainsi, ce récit nous transporte à travers ce jeu de piste dans une époque et une ville rude aux mentalités archaïques entre esclavage, navigateurs marchands, droits des femmes et de homosexuels bafoués, dans une mise en scène de polar sur des couleurs et des lumières d’une grande richesse. Une belle galerie de femmes pour un beau message féministe, antihomophobe et antiraciste.

L’auteure, Jessie Burton, s’est donc librement inspiré pour son roman de la maison de poupée de Petronella Oortman (1656-1716), à ne pas confondre avec Petronella Oortmans-de-la-Cour (1624-1707), qui avait aussi une maison de poupée. Comme les femmes riches de son époque, Nella construisit une maison de poupée qu’elle avait aménagée, entre 1686 et 1710 de miniatures coûteuses, dont la valeur équivalait au prix exorbitant d’une vraie demeure. Si les maisons de poupée étaient un symbole de leur statut social de haut rang et donnait lieux à des soirées ludiques, c’était aussi l’occasion de passer des messages sur leurs rêves et aspirations réelles. C’est aussi une vision infantilisée de la femme. Sa maison de poupée fut transmise à sa fille Hendrina puis à son frère Jan. Avant de faire partie de la collection permanente du Rijksmuseum à Amsterdam.

Avec la bien jolie et excellente Anya Taylor-Joy (Morgane), Romola Garai (Les suffragettes), Hayley Squires, Alex Hassell et Caolan Byrne, Sally Messham, Geoffrey Streatfeild et Graham Elwell, Paapa Essiedu, Ziggy Heath, Ian Hogg, Aislín McGuckin et Emily Berrington, Christopher Godwin, Katy Carmichael, Lucas Bond et Oscar Morgan, Lara Bond, Joseph Wicks et Deborah Kearne, Sandra Huggett, Jack Brady, Dick Carlier et Nick Vorsselman.

La Mini-série Miniaturiste, distribué par Koba Films, disponible dans les meilleurs bacs dès le 6 mars 2019 en DVD et Blu-ray. Elle est proposé en version originale anglaise sous-titrée français et en audio français. Dans les suppléments, des documentaires sur la réalisation de la série avec les interventions des principaux interprètes, l’auteure du roman et staff technique sur différents thèmes, Le livre, Introduction, Les personnages, Les décors, Les habits de poupées, La fabrication des miniatures, Les costumes, Les coiffures de l’époque, Quels espoirs pour la série ?

3 étoiles

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12 février 2019 2 12 /02 /février /2019 09:15

Un grand merci aux Éditions Montparnasse pour m’avoir permis de découvrir ce superbe feuilleton en 5 épisodes de 90 minutes réalisé en 1979 par Nina Companéez, qui nous plonge dans un triangle amoureux emporté par la première guerre mondiale.

De 1911 à 1919, sur les côtes normandes, la vie de trois familles bourgeoises les Hérart du domaine de La Touroude, les Villatte du domaine du Rouloir, et les Decourt du domaine de Feuilleforte, et de leurs domestiques va être bouleversée par la Première Guerre mondiale. Fanny Villatte, est jeune fille romantique et exaltée qui reçoit la visite de ses deux cousins éloignés Raoul et Marcel Decourt.

Marcel est doux, romantique et idéaliste tandis que son frère Raoul se montre froid, cynique et charmeur. Leur mère, Clara, mal mariée, embauche comme domestique Blanche plutôt que sa cousine Georgette. Mais Blanche épouse le cocher de Louis Hérart, et part vivre chez ce dernier. Quand Georgette s'engage comme courtisane. Fanny tombe amoureuse du père de Raoul et Marcel dans une liaison épique. La grande guerre éclate.

Le mari de Blanche meurt dès les premiers jours. Georgette appelée Dora de Vandeuil devient la maîtresse de Raoul dans une relation violente. Si Marcel et Fanny sont amoureux, elle épouse Raoul qui abandonne Georgette qui sombre dans la folie, quand veuve de guerre, Blanche s'engage comme infirmière. Elle y soigne Louis Hérart, qui tombe amoureux d'elle, alors marié à Marianne. Clara devient la maîtresse de son régisseur Armand. Raoul se révèle un mari possessif et d'une jalousie violente.

Une épique et passionnante romance qui nous plonge au cœur d’un famille bourgeoise aisée prise dans la tourmente de la Grande guerre qui renverse autant de vies que de bouleversement sociétale et perte de repères. Ainsi, sont abordés divers thématiques telles que les différences sociales avec les liaisons bourgeoises et servantes et régisseur, la violence conjugale d’un Raoul, et les amours contrariés de Fanny et Marcel. Nous retrouvons des schémas à la Downton Abbey avant l’heure.

Une superbe restitution d’une époque à la césure sociétale. Des décors, et costumes et des ambiances pour la recherche de l’absolu autant de la jeunesse que des parents en un temps où l’on meurt dans les tranchées par centaines de milliers de jeunes. J’ai beaucoup aimé cette folie qui à l’image de Georgette emporte ce petit monde en quête d’amour dans une galerie de portraits de femmes sublimes. La quête du grand amour  trop passionné, ou de la tendresse amoureuse, chacun chacune y trouve son compte, ou pas, mais avec passion et sincérité.

Avec une fabuleuse distribution, dans laquelle nous retrouvons  les excellents Fanny Ardant (La débandade) et Francis Huster (Terre indigo), Edwige Feuillère  et Michel Aumont (Des nouvelles de la planète Mars), Françoise Fabian (Brillantissime) et la fabuleuse Evelyne Buyle (Le retour du héros), Martine Chevalier (Pas son genre), etBruno Devoldère, François Perrot qui vient de nous quitter, Denise Grey, Anna Sinigalia et Hélène Duc, Hélène Vincent, Michel Fortin et Bruno Garcin, Anne-Marie Quentin, Pierre Londiche et Patrice AlexsandreMaurice Teynac, Germaine Ledoyen et Virgile Bethmont.

Le feuilleton Les dames de la côte, distribué par les Éditions Montparnasse et sa page Facebook, est disponible en DVD dès le 6 février 2019. Dans les suppléments, un entretiens exclusifs avec Fanny Ardant, Francis Huster, Nina Companéez et Mag Bodard.

3 étoiles

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7 février 2019 4 07 /02 /février /2019 17:21

Un grand merci à Koba Films pour m’avoir permis de découvrir cette série britannique réalisée en 2017 de 10 épisodes de 42 minutes réalisée en 2016 par Andy de Emmony, David Caffrey, Brian Kelly et Jon East, d’après une histoire originale de Stan Lee et Neil Biswas, pour des enquêtes policière fantastiques et un bracelet magique au coeur des intrigues.  .

Excellent flic, Harry Clayton est addict du jeu. Surrendetté auprès de  Freddie Lau, du cartel chinois de Londres, il perd sa maison, et séparé de sa femme Anna et leur gamine Daisy. Il rencontre Eve, une belle jeune femme mystérieuse qui lui met un étrange bracelet dont il ne peut se débarrasser. Il découvre rapidement qu’avec il peut contrôler la chance, qui a une contrepartie dramatique. Son frère Rich essaie de l’aider dans ses recherches.

Avec sa collègue Suri Chohan, il mène une enquête sur le meurtre d’une strip teaseuse et de son amant Freddie Lau. Sa fille Lily-Anne Lau, prend le contrôle des jeux clandestins et du blanchiment d’argent. Harry est bientôt pris entres ceux qui veulent récupérer le bracelet, son chef Winter qui veut sa peau pour une vieille haine, il doit veiller à ses proches et amis.

Très sympathique série policière et fantastique plus dans le style de  Stephen King que des Marvel habituels, cette première saison tiens ses promesses de suspens, de pistes variées qui finissent par se recouper avec ce bracelet magique et démoniaque qu’il va falloir gérer avec soin pour porter autant chance et éviter de le malheur en contrepartie.

Un rythme vif et alerte, des personnages attachants quand d’autres sont détestables à souhait. La confusion trouve à révéler les mystères qui tourne autour des meurtres, enlèvements et menaces en tous genres. On suit des pistes, qu’on perd pour d’autres dans une série d’enquêtes qui met en dangers les proches du porteur du bracelet démoniaque. Je me suis bien amusé à suivre les péripéties dans un Londres hors carte postale qui nous en montre des vertes et des pas mûres avec beaucoup de rythmeMarque les esprit aussi le générique entrainant Luky one de Corinne Bailey Rae

Avec James Nesbitt (Le hobbit) et Sienna Guillory (Resident evil: retribution), Darren Boyd (Bridget Jones baby) et Amara Karan (St Trinian's), Stephen Hagan, Omid Djalili et Eve Best (Le discours d'un roi), Steven Mackintosh, Sienna Guillory, la jeune Leilah de Meza (Alice de l'autre côté du miroir) et Sendhil Ramamurthy, Neve McIntosh, Jing Lusi (Avant d'aller dormir), Omid Djalili, John Hopkins et Burn Gorman, Kenneth Tsang, Joseph Gatt, Michael Kanza et Mark Ebulué, Stephen Boxer, Ben Aldridge, John Benfield, Paudge Behan, Katie Lyons, Peter Guinness et Susannah Allman, Denise Gough Jade Anouka et Lisa Dillon, ainsi bien sûr que Stan Lee lui-même.

La série Lucky man - Saison 1, distribuée par  Koba Films, est disponible dans les meilleurs bacs dès le 27 février 2019 en DVD et Blu-ray. Il est proposé en version originale anglaise sous-titrée français et en audio français.

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